Le mois dernier, Relax Gaming a levé le rideau sur Frank’s Diner, sa nouvelle machine à sous au décor de fin du monde où la tôle chromée d’un diner américain survit au chaos ambiant. Sorti le 20 octobre 2025, le titre s’appuie sur un trio de mécaniques centrales : des Split Symbols (des symboles qui se dédoublent ou se triplent sur un même rouleau pour multiplier les lignes de gain), des Re-Spin Wilds déclenchés par des Gold Wilds dès qu’ils participent à un gain, et des multiplicateurs de rouleau (x 2 à x 5). Bref, de par son thème et ses possibilités de gain, Frank’s Diner a de quoi vous faire vivre une super soirée d’Halloween !
Un lancement tout chaud… et terrifiant à souhait pour Halloween !
Concrètement, dans Frank’s Diner, on évolue sur 6 rouleaux et 4,096 lignes de paiement, avec un gain maximal qui peut potentiellement grimper jusqu’à 10,000 fois la mise ! De quoi donner du relief à vos différentes parties, surtout quand les Split Symbols empilent les combinaisons et que les multiplicateurs s’accumulent durant les Last Stand Spins. Ces paramètres placent Frank’s Diner dans la lignée des sorties à fort impact du studio, avec une structure pensée pour générer des pics d’intensité sans que les joueurs ne perdent le fil durant leur session.
Côté gameplay, l’équilibre entre accessibilité et montée en puissance est soigné. Les Split Symbols densifient les tirages sans surcharger l’interface, les Gold Wilds entretiennent le rythme via des Re-Spins en chaîne, et les multiplicateurs de rouleau permettent de faire monter la sauce tour après tour. En bref : Frank’s Diner, de par son thème fun et de saison, l’exécution réussie de ses mécaniques de gameplay, mais aussi sa production artistique qui assume sa singularité rétro, est pile ce qu’il vous faut pour une session de machine à sous le soir d’Halloween ou simplement durant l'automne !
Frank’s Diner : un pixel art rétro qui colle à l’ambiance du 31 octobre
Côté direction artistique, Relax Gaming opte pour un pixel art assumé, clin d’œil aux arcades 8-bit : personnages à la Minecraft, interface à la façon d’un tableau de scores, bruitages rétro et une ambiance apocalyptique mais guillerette qui dose humour noir et dystopie. Ce parti-pris visuel, rare sur le segment, fait écho à certains titres « old-school » du studio, tout en distinguant clairement Frank’s Diner de la multitude de machines à sous à thème sorties pour Halloween.
À l’écran, le contraste entre le chrome patiné, les clients excentriques et les filtres pixelisés compose une identité immédiatement reconnaissable. Autant dire que l’alchimie fonctionne : costumes, second degré et frissons légers se marient à la perfection avec ce restaurant de l’étrange où chaque Spin crépite comme une plancha !
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