Le développeur Play’n Go muscle sa stratégie « story-driven » avec Dragonfate’s Favor, une nouvelle machine à sous où le joueur décide du destin d’un groupe de dragons. La firme suédoise, déjà forte d’un portefeuille de plus de 350 titres, entend fidéliser au-delà de la simple Spin en introduisant un duo de protagonistes attachants : Goldar, un dragon doré déchu, et ses Hatchlings à peine sortis de l’œuf.

Dragonfate’s Favor : un univers épique pour nourrir l’engagement

Toujours plus friand de récits immersifs, Play’n Go poursuit sa montée en gamme narrative avec Dragonfate’s Favor, sorti le 22 mai 2025, un jeu de casino en ligne qui introduit des dragons tout mignons, mais résolument héroïques. L’expérience proposée par le studio scandinave, appuyée par un moteur graphique entièrement revu, s’inscrit dans la continuité du succès rencontré par Raging Rex 2 ou encore Beast of Fire, où l’histoire structure la progression du jeu plutôt que de servir de simple décor.

La mécanique phare de Dragonfate’s Favor, les inévitables Free Spins, se dévoilent seulement après quelques tours : sur une grille au format 6 × 4 hébergeant jusqu’à 4,096 combinaisons de gain possibles, le dragon Goldar peut apparaître pour déclencher une séquence de Re-Spins. Une fois devenu Wild collant, celui-ci glisse d’une case vers la gauche à chaque rotation, tandis que ses bébés, les Hatchlings, surgissent parfois pour le dépasser et booster les récompenses. Quand les Re-Spins s’achèvent, le joueur choisit l’un des trois modes bonus du jeu.

Ces derniers sont : « Alpha Blessing » (Goldar réapparait plus fréquemment, offrant une volatilité modérée), « Hatchling Reward » (des Wilds dotés de multiplicateurs font leur entrée), enfin, « Dragon’s Gift » (une mécanique bonus qui combine les deux options !).

Un jeu qui résume la recette du succès de Play’n Go

Pour le joueur, le système de bonus trois-en-un constitue une sorte de « carrefour stratégique » qui permet de calibrer le risque à chaque session, un concept qui est d’ailleurs salué par Magnus Wallentin, Games Ambassador de la firme : « Le jeu n’est pas qu’une question de jackpots ; il invite le joueur à écrire son propre chapitre ». Côté chiffres, la feuille de specs annonce un RTP de référence de 94,20 % et une volatilité médiane, avec un plafond théorique de 10,000 fois la mise.

Au-delà des chiffres, Play’n Go intègre Dragonfate’s Favor à ses outils promotionnels – missions, tournois et jackpots –, afin que les opérateurs puissent exploiter le jeu dès l’ajout au catalogue. L’éditeur confirme aussi que seuls les opérateurs disposant d’une licence dans les juridictions régulées recevront une copie de la machine à sous, fidèle à sa politique de distribution sélective.

Dragonfate’s Favor illustre donc la nouvelle grammaire du fournisseur : visuel cinématographique, avatars récurrents et choix tactiques à chaque embranchement. Une recette qui, selon Play’n Go, nourrit la rétention tout en répondant aux attentes d’une génération de joueurs rompus aux jeux vidéo scénarisés. Reste à savoir si Goldar et ses petits trouveront leur trésor ; mais pour l’opérateur, le pari sur l’histoire interactive semble déjà gagné.